
Je pleure, je bouillonne, je fulmine, je trépigne
d'aller moi-même chercher ces filles. 234 captives.
Aujourd'hui elles sont toutes nos propres filles, la
chair de notre chair, notre sang, les prunelles de
nos yeux. Mon ordinateur est en panne. Difficile
pour moi de m'étendre sur le sujet avec les petites
touches de mon smartphone alors qu'il y a tant à
dire...
Bien sûr, on se sent bien inutile tout seul au fond
de son fauteuil, mais :
. On peut porter un T-shirt rouge en signe
de soutien au mouvement car c'est cette couleur qui
a été choisie par les mamans des jeunes filles
depuis le premier jour.
. On peut mettre le "hashtag" partout pour mobiliser
nos réseaux sociaux : # BringBackOurGirls.
. On peut en parler autour de soi pour montrer que
le Nigeria c'est chez nous aussi, qu'on est tous
citoyens de cette planète, qu'on est à 100% avec ces
filles, leurs familles et contre ces fous qui
n'ont rien compris au Dieu dont il se prétendent.
Le droit à l'éducation, à l'égalité, au choix de sa vie
(mariage, travail, enfants, santé) c'est ici, ailleurs,
partout, tout le temps, toujours.
#BringBackOurGirls
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